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Week end pluvieux en Bourgogne avec Bagnolet.

Quelques dessins des protagonistes par les artistes de Bagnolet.

Un Week end qui abolit les mythes : La Bourgogne on peut la laisser aux escargots, eux quand ils en bavent ils se déplacent mieux, même à la verticale (ou alors je n’ai rien compris aux explications des physiciens du groupe). Beaucoup de performances pour cette sortie conjointe de Bagnolet et V12 augmentée de 2 crypto-Lémuriens, dont un demi zèbre, ce qui fait une ménagerie assez hétérogène au final.

Dans l’ordre d’entrée des performances :

  • 2h en moyenne de bouchons par voiture pour le départ
  • Reprise 4 fois du gratin de ravioles à la courgette (je ne sais plus qui a remporté la palme, qu’il se dénonce, mais merci aux cuistots nommés plus loin)
  • Record de vitesse pour la descente en rappel de la poire (plus douce que celle d’Ailefroide, plus froide que celle d’aile douce, mais je m’emmêle et je m’égare) et de nos cubis (celle-là je l’avais sur le bout de la langue )
  • Levé très tôt après nuit courte grâce au chant de la Violette et à la musicalité du Roman (on ne les remerciera jamais assez), et il fallait bien cela pour se mettre sur les starting-block, partir vers 13h et être parfaitement raccord avec la pluie
  • Au choix selon les voitures : Pour les plus sportifs rando extrême du parking de Vieux-Château-sous-la-pisse jusqu’au pied des voies (250 mètres de distance et 30m de dénivelé environ) où nous avons dû abandonner Laura sous un rocher (elle voulait dessiner du caillou mouillé parce que c’est plus joli les reflets) et continuer le chemin (2 minutes et 27 secondes) avant de la reprendre au retour. Pour les plus guerrier ou les plus olfactivement endurcis : visite des caves d’Epoisse sans apport d’oxygène.
  • Petit dérouillage footing-muding pour certain juste pour aller voir le lieu-dit « Butte de Thill » et me faire plaisir sur les toponymies contrepèteuses pour Corrézien gouvernementaux
  • Course à la moussaka des chefs (merci à Alex, Roro, Nico (celui de V12) et Béa dite-laretourneuse-d’aubergine, en oublie-je ?) et exercice de tir ami saoul
  • Nombreux complotistes dans la nuit. Il y a eu des morts, mais certains tel le Phénix s’en fichaient comme de leur première bière (depuis la renaissance de sa main, il se croit immortel. Un noms?) Y-a -t-il eu de nouveau record-à-corps dans la profondeur de la nuit ? (On a retrouvé des traces dans la pièce du fond rebaptisée la cave à Pia (allez savoir pourquoi, moi je n’ai pas compris). Bon les cordes sont restées lovées, les chaussons (proche cousin de l’Epoisse) bien au fond des sacs. Mais quel week-end, on n’avait pas connu ça depuis la mort d’Alain Gillot Pétré (désolé pour les jeunes qui n’ont pas connu les grandes heures de la météorologie nationale, cultivez-vous).