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Du Bitard à la Licorne, ça glisse au pays des merveilles !

On nous avait dit la Jonte, fais CAF, c’est dur. Mais on avait l’envie au bout des doigts… Arrivés là-bas, on se rend compte que le fond de l’air effraie. Mais pour ne pas être la risée de la Jonte, on y va quand même entre doute et espoir.  On se lance dans la diagonale des gogoles et aqua es quiconEngagez-vous qui disait ! Entre le rire des vautours et l’odeur de gaz, c’est vite les ennuis. Du coup, on s’est rabattu sur la cuvée du chef. Et là ce fut la fièvre du samedi soir du dimanche soir. Entre les ragots de la Jonte et les histoires deux fous de Marco, l’adjoint, c’était le joyeux merdier. Au bout de la septième Leffe, on essaie de s’échapper. Marco, le loueur truffier, nous propose sinon un Ricard. On lui répond, adieu Carlos enfin excuse nous Marco ! On finit là le voyage au bout de la nuit.

Ce joli texte particulièrement poétique, vous l’avez bien remarqué, est «censé» (si sens il y a ! )  vous donner un tout petit aperçu de notre week-end V12, réalisé en live panoramique dans la Jonte avec ses rapaces plumés, en ce «joli» mois de septembre de l’an 2017. Il est très fortement inspiré du topo de la fameuse Jonte, que nous avons eu le temps de parcourir en long, en large et en travers pendant ce week-end… de pluie !